lundi 17 septembre 2012

La boulangerie Goldman Sachs

pain GS


DU PAIN ET DES ZEUS



Goldman Sachs est responsable de l’état – ou des États lamentables qui ont appauvri le monde occidental. C’est la peste rose du 21e siècle. La peste de l’argent, du pouvoir, des dieux qui grimpent d’un étage à l’autre dans le building.

Les « moines banquiers » sont évangélisés, sans soucis d’éthique, au culte de la banque, de jeunes arrivistes belliqueux, en cols blancs, hargneux.

Et quand ils ne sont plus utiles, ils sont largués…

30,000 moines au grand monastère d’une tour mystérieuse.

Déchronologie



Pour faire bref, le monde financier a coulé grâce à la vieille méthode duShylock , ce personnage du Marchant de Venise .

Certain de pouvoir le rembourser, il signe un contrat où il autorise son créancier à lui prélever une livre de chair en cas de défaut de paiement. Shakespeare
Inutile de faire des blogs pour refaire le monde ou le comprendre. Shakespeare a tout dit.

Mais Goldman Sachs a tout fait : elle a ébranlé l’économie étasunienne qui l’a pardonnée en renflouant d’autres banques, créant ainsi plus de pauvres.

Puis elle a étendu sa méthode usuraire à la Grèce, déjà endettée à 100% de son PIB. Mais dans une manœuvre insidieuse et hypocrite : falsifiant la dette de la Grèce et en lui prêtant ce maquillage à des taux usuriers.

Vous avez besoin de 30,000$ pour vous renflouer? On le fera, mais vous devrez nous verser le double en dédommagement.

Si je ne m’abuse, la Grèce est endetté jusqu’en 2037. Peu importe! Mais il importe que l’Europe entière est maintenant empoisonnée par le venin de ce serpent qui fabrique un pain qui ne se mange pas : l’argent électronique.



Le sida économique


GS a créé tellement de petits dieux ambitieux qu’ils sont aujourd’hui à la tête de …ceux qui veulent réparer les dommages. Mais comme disait M.Shylock : il lui faut une livre de chair en cas de défaut de paiement.

La foi étasunienne en l’entreprise « privée », ne crut pas bon de faire un procès à ces cowboys pour qui l’humanité est constituée de vaches à traire.

On est du lait…

Le pis est avenir…

Goldman Sachs est une trayeuse à pis, mécanisée, mondialisée, à tentacules en apparences cachées.

Bien que les acteurs soient connus, identifiés, en tant que « spécialistes » de la finance, ils intoxiquent tout l’appareil politique des pays. Infiltrés, ils sont ensuite engagés pour

Quand vous votez, vous votez GS.

Quand vous pensez être Canadien, Français, Américain, Suisse, Allemand, Islandais, vous êtes tous un peu GS.

Après la livre de chair : l’os.

GS est un réseau. Nous sommes sur leur Wifi…


La plaie de la plèbe

Tour à bourreaux
 

Les tours GS, partout dans le monde, – comme dirait Freud – , ça ressemble à de gros pénis carrés. Et leurs disciples sont hargneux, dans une nouvelle religion de jeunots à l’ego enflés à l’hélium.


L’humanitarium


Belles et belliqueuses constructions. Nous sommes tous pâmés. Nous sommes fiers d’être humains pendant que GS a un portefeuille à la place du cœur. Sans âme et sans reproches… Un jeu. Un casino en plein désert des âmes. Un Las Vegas mondialiste. Machine à saouls…

Les enivrés ont la tête dans ce nouvel alcool : le pouvoir. Et la tour GS ressemble à une grosse bouteille de luxe plantée au centre des villes.

Je ne suis pas économiste. Je sais seulement qu’à la naissance de cette « science », le progrès fut de faciliter les échanges en créant un objet d’échange – comme les fichiers compressés mp3, – la monnaie. C’était compliqué de transporter et d’échanger 35 vaches. Mais c’est maintenant encore plus compliqué quand 35 pays ont des marchandises à échanger et que la mafia à cravate s’en occupe.

Chaque échange est un hold-up.

Chaque échange nous râpe la chair. Le Shylock aura sa livre de chair dans une collusion si complexe que même les grands analystes sont dépassés.

Ils sont spectateurs… Repentis ou pas d’avoir été les acteurs de ce « passé » qui a grugé notre futur.

Vous êtes de la classe moyenne? Vous perdez de l’argent…

Vous êtes de la classe pauvre? Vous perdez des besoins essentiels…

Vous êtes des démunis? On vous achètera vos vieux vêtements pour les vendre aux en-chairs.


Le déhumanitarium


Les gros poissons mangent les petits poissons. C’est dans la « nature ». Dans la vie « intelligente » des neurones stéroïdés, affolés, renifleurs de cocaïne ou de pouvoir, voire des deux, gobent tout. Dans une

Les dinosaures ont disparu de la Terre.

Mais ce sont maintenant les dinosaures qui feront disparaître les vrais humains de cette planète.

Le titre est faux : la boulangerie Goldman Sachs ne fabrique pas de pain pour nous nourrir. Bien que ce soit ce que croient les imitateurs de petites banques crapauds voulant devenir bœuf à La Fontaine du pis des vaches que nous sommes…


L’impérialisme sniper


Pour parler aspect humain… La faim augmente en occident. La pauvreté s’accentue. Et le Tiers-Monde maintenu dans l’ignorance continuera – au grand plaisir du nouvel âge de l’économie sniper, à viser les plus pauvres, à les garder dans la division pour vendre des AK47 à 50$ pièce, pour retirer de ce qu’ils ont de plus riche sous leurs pieds.

L’Afrique.

« Dieu et Satan », requins et piranhas, en une créature issue de l’ingénierie donnant des couleurs nouvelles et palpitantes à ce nouvel animal bicéphale, aura englouti ledit progrès humaniste.

L’hypocrisie impérialiste a combiné à la fois la force des gros poissons et des petits : elle leurs a fait pousser des dents et les a dressés à la manière de faire pour la « gobance » dénuée d’éthique.

La totale.


Addendum


Il manque à cet « observation » le fichier le plus compressif qui soit, mais le plus important.
La boulangerie GS est une œuvre à la Ponzi. C’est la raison pour laquelle plus haut est le dirigeant, plus sournois il est, plus il engrange.
En cela, tous les investisseurs et spécialistes du monde se sont fait avoir par des principes si simples qu’ils ont oublié les fondements de l’économie.

Mais, comme le disait le héros de Cleanskin : « C’est dans ma nature ». Puis il trancha les veines de sa patronne…

C’est dans notre nature que d’adorer des dieux qui nous gobent. Ils nous divisent de par leurs noms différents. Et nous voilà en guerre.

Pendant ce temps, on ne sait trop si l’impérialisme toujours florissant ne participe pas sournoisement à manipuler les masses pour alimenter l’industrie de l’armement.

Le pain a été remplacé par l’or.

Et les dieux par des couverts d’or…

Nous avons les valeurs que nous cultivons et nous récoltons ce que nous cultivons.

Boom et Rang!



Président de GS

En prime:

Si vous lisez cet “article”, vous avez droit à une prime en guise de culture et d’amusement.

Zeuz, un chien de 2 mètres. Le plus gros au monde selon Guinness. Il mange 14 kilos de viande par jour.

Mais, pour nous “culturer” sans trop de dommages, GS doit bien gober 14,000 kilos d’humains chaque jour? Nourri et logé aux États-Unis, il doit aller chercher sa pitance ailleurs.

Comme dirait San Antonio: “Le petit vient en mangeant”!

Retour à la case départ:

Du pain et des Zeus.

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